Dans mon pays natal
Celui où je suis né
Tout est convivial
On entend toute la journée
Des gens parlant la langue d’Oc
Un patois occitan taillé dans le roc
Un sourire qui ne coûte rien.
Et de suite on se sent bien
Un accent qui chante
Une musique apaisante
Qui met de bonne humeur
Du baume au cœur
Il ressemble au chant des cigales
Ces concertistes provençales
Gorgées de soleil de douceur
Un instant de bonheur
Un crissement en occitan
Mon hamac comme divan.
Allongé à l’écart du soleil
Sans nul autre pareil
Me caresse du regard
Tel un exutoire.
Dans mes yeux un espoir
Tourné vers le destin, le hasard
Un rayon de fantaisie
Qui agrémente la vie.
Jamais on ne s’ennuie
Dans mon petit pays
La vie y est radieuse
On y vit heureux.
On prend le temps de vivre
Comme Pagnol dans ses livres
Quand le jour est triste
On va chercher l’accordéoniste
On improvise une chansonnette
On joue pour une amourette
On occulte le mauvais sort
On s’accroche encore plus fort.
Un midi sans accent
C’est un midi dépouillé
C’est Paris sans Panam
C’est Paris galvaudé
Celui où je suis né
Tout est convivial
On entend toute la journée
Des gens parlant la langue d’Oc
Un patois occitan taillé dans le roc
Un sourire qui ne coûte rien.
Et de suite on se sent bien
Un accent qui chante
Une musique apaisante
Qui met de bonne humeur
Du baume au cœur
Il ressemble au chant des cigales
Ces concertistes provençales
Gorgées de soleil de douceur
Un instant de bonheur
Un crissement en occitan
Mon hamac comme divan.
Allongé à l’écart du soleil
Sans nul autre pareil
Me caresse du regard
Tel un exutoire.
Dans mes yeux un espoir
Tourné vers le destin, le hasard
Un rayon de fantaisie
Qui agrémente la vie.
Jamais on ne s’ennuie
Dans mon petit pays
La vie y est radieuse
On y vit heureux.
On prend le temps de vivre
Comme Pagnol dans ses livres
Quand le jour est triste
On va chercher l’accordéoniste
On improvise une chansonnette
On joue pour une amourette
On occulte le mauvais sort
On s’accroche encore plus fort.
Un midi sans accent
C’est un midi dépouillé
C’est Paris sans Panam
C’est Paris galvaudé